Marine Desbureau

Questionnement tranversal: art et société

Thème: Le féminisme

Luna Baduel

"Business is business"

Peinture acrylique, 100cm x 60 cm

Questionnement transversal : art & société

Thème : art & engagement

Claire Bardin

" The truth brought to light"

Peinture acrylique et fusain sur papier.

Questionnement transversal: Art et société

Thèmes : Caché/ rendre visible

Marie Lucie Darangon

"Conscience de l'être"

Encre sur papier, 130 x 65 cm

Questionnement tranversal: art et société

Problématiques: Est-ce que l'artiste a pour fonction d'être un lanceur d'alerte? En quoi l'art est un moyen direct de faire passer un message aux sociétés?

Cetteréalisation plastique a pour thème central , l'environnement, elle représente une personne x qui regarde l'environnement s'effondrait sans agir , mais qui au fond , commence à prendre conscience de la situation.

Cette réalisation a pour but de faire prendre conscience à la société l'impact des catastrophes naturelles , du réchauffement climatique , de la pollution sur notre monde , mais aussi sur notre santé de part la pollution mais aussi du rejet de co2 dans les airs du aux incendies. Nous pouvons mettre en lien cette réalisation aux travaux de l'artiste Australien Alper Dostal qui dénonce le réchauffement climatique par la représentation de célèbres peintures en train de fondre . Comme par exemple de célèbre tableau de Picasso , Guernica ou encore La nuit étoilée de Van Gogh.

Louane Trouvé

"Décision cruciale" Acrylique sur toile qui mesure : 50X40cmQuestionnement transversal: Art et société
problématique : Comment l’utopie et la dystopie peuvent-elles devenir notre avenir en tant qu’être ?

En termes de significations, le visage que j’ai voulu représenter est neutre, sans expression particulière. Il représente l’humanité. Le tableau confronte son spectateur à deux choix futurs du monde avenir qui nous attend, une dystopie et une utopie.La dystopie est représentée par toute la partie gauche de l’œuvre. Elle est métaphorisée par des couleurs témoignant d’une obscurité sévère ainsi que d’une froideur, d’un néant. Ce mystérieux gouffre serait pour moi, le futurisme numérique et particulièrement, l’avancée technologique. Je n’ai pas voulu représenter un robot ni une machine car ce n’est pas à ces progrès que nous serons confronté si nous choisissons de le devenir. Toutefois, j’ai désiré illustrer, par l’intermédiaire de ce visage une dystopie du transhumanisme. Plus de pensées, de sentiments, de satisfaction, plus d’art émotionnel guidé par l’inconscience. J’ai suggéré l’idée dans l’interprétation de l’œuvre du spectateur grâce à l’œil gauche du visage, sans sentiments. Les spirales frontales représentent l’intelligence artificielle. Les motifs figurant sur le sourcil ainsi que les traits rouges représentent l’enfer, le mal un côté obscur et inexplicable. Les larmes épaisses noires que j’ai appliqué avec matière illustrent l’irréversibilité du choix de la dystopie, elle est comme une marque noir indélébile, un tatouage psychologique et physiologique gravé. Les lèvres noires marquent la suppression de la liberté de paroles, d’expression et de s’exprimer. J’attribue à cette partie de mon tableau un coté péjoratif de cette vision du monde. Cette transition entre ces deux mondes est réalisée grâce à un dégradé en bas ainsi que d’une rupture brutale en haut entre traits fin noir et fond bleu. Le côté droit de mon tableau illustre l’utopie, un monde imaginé mélioratif. Le second choix qui s’offre à nous est un retour aux sources. Le fond bleu représente l’eau paisible, la sérénité. Les traits blancs, nacrés et or illustrent un vent de prospérité dans une nature paisible. J’ai choisi de peindre une Nelumbo Nucifera qui représente la pureté notamment par sa couleur. En effet, je trouve qu’elle représente très bien la nature dans sa globalité, dans son perpétuel renouveau. Le lotus peut survivre des milliers d’années. De plus, c’est une plante comestible. Les tiges, comme les fleurs, les feuilles, les graines et les racines peuvent être utilisés. L’humain peut se nourrir grâce à la végétation ce qui est pour moi fondamental à rappeler afin de retourner aux besoins primaires de l’individu. En somme, sur deux des feuilles, j’ai voulu représenter la rosée du matin grâce à une petite quantité de peinture blanche. La partie droite du visage est naturel. La pupille de l’œil dispose de plusieurs reflets. Ce dernier par sa couleur bleu, nacre et or représente l’espérance, une sincérité des sentiments dans les yeux d’un individu. Quant aux lèvres, ces dernières sont illuminées naturellement par des touches de couleurs nacre soulignant la liberté de parole que l’humain possède en s’exprimant.

Anne-Laure Bouly

Questionnement transversal: art et mondialisation

Thème: le VOYAGE.

Problématique : Comment la culture Afro-américain est-elle arrivée au Etats-Unis ?

Elanor Filoque et Lou-Andrea Empereur

« L’enfant et le cochon »

Peinture acrylique sur papier, 150 x 195 cm

Nous avons voulu montrer que que l’enfant n’est pas un être rempli d’innocence, bien trop souvent il subit des violences mentales et/ou physiques qu’il renferme à l’intérieur de lui. Malgré son air innocent, il n’est pas un être ne connaissant pas la violence et la dureté du monde. Ainsi le masque est, la vérité est tout autres

Naulan Foulny

''Portail de sortie''

Réalisation digitale

Questionnement transversal : art et société

Problématique: le message est-il influencé par l’icône ou par l'auditeur ?

Elanor Filoque

Questionnement transversal : Art et société

Problématique: en quoi cette réalisation met en lumière l’aspect dissimulé d’une psychologie ?

Pour ces réalisations je me suis en premier temps inspiré de l’artiste avogado6, qui est un artiste japonais. Puis j’ai vu son illustration avec le pansement, ce qui m’a donné l’idée de représenter les douleurs avec une représentation claire, qui ne prête pas à d'autres interprétations, c’est-à-dire de les représenter avec du sang. L’œuvre de Frida Kahlo, « La colonne Brisée » réalisée en 1944 m’a donné l’idée de la représentation du métal et puis par continuité, des plaques. Une photographie de Sophie Ristelhueber m’a inspiré pour une idée que j’ai ensuite changé à profit des plaques métalliques.